Le Journal de NOTRE EPOQUE

Journal béninois d’investigation, d’analyses et de publicité – Récépissé N° 953/MISPCL/DC/DAI/SCC du 27 mars 2007

Daouda KOUYONIN pose les pas de la solidarité

Le jeune opérateur économique et acteur politique dans la commune de Savalou, Daouda KOUYONIN était le samedi dernier dans les locaux du centre de formation en menuiserie aluminium dénommée « MOUREDE ALU » sise à calavi. Objectif, encourager le directeur du centre dans sa reconversion.

Loin d’être une visite de courtoisie, c’est plutôt, celle d’encouragement et de soutien. Daouda Kouyonin puisque c’est de lui qu’il s’agit content et très fier du choix de son jeune frère et camarade de lutte politique Jules DOGO est allé apporter son soutien au centre de formation MOUREDE.
Pour le natif d’ottola, un village situé dans la commune de savalou, dans un contexte où la question de l’emploi est devenue un véritable casse-tête pour les jeunes diplômés, la solution est tout simplement la reconversion. Apprendre un métier de plus, c’est l’une des meilleures formules pour tourner dos à la question du chômage. Un vocabulaire qu’il a utilisé pour féliciter toute l’équipe de MOUREDE ALU notamment le Directeur général.

Selon l’homme, il était nécessaire d’apporter son soutien à un jeune frère qui a eu la belle idée d’apprendre très tôt un métier de plus en dehors du statut professionnel qu’il lui ai reconnu.

 »Séduit »du choix fait par Jules DOGO issu de la même famille politique que lui, ( Union Progressiste), Daouda KOUYONIN promet prendre entièrement en charge les frais de la location du centre à compter de juillet jusqu’au mois d’octobre donc pendant quatre mois. Il a aussi promis appuyer le centre avec des équipements de travail dans les tous prochains jours ceci dans le souci de parfaire les conditions de travail des jeunes formateurs du dit centre.

Il a également profité de l’occasion pour inviter la jeunesse qui peine à trouver d’emploi, à amboiter les pas à ce jeune de Tchetti qui a vite compris qu’il faut aller dans l’auto- emploi. Car, il n’y a pas de sot métier a t- il conclut.

Yves Gbènafa LOKOSSOU